C'est un cochonfucius qui m'avait inspiré De mes tout premiers vers, la triste mélodie Lisant en son désir la conscience éclaircie À colorier de noir, je m'étais résigné Si de Yin il était, j'aurais été de Yang Car en ce monde éclos, mouvement est Principe De l'été lumineux, auquel il participe À l'automne des cœurs et des esprits exsangues Mais combien d'entre nous, à avoir oublié D'une cause connue, le vice réitéré N'est plus malédiction, mais triste gourmandise Mouvement en l'inspir et muse sempiternelle Pourvu que de ces rimes le Mystérieux appelle Reviendra la beautée, et du cœur la maîtrise Fin alternative Mouvement de la muse, qui d'un battement d'ailes Confèra au poète pouvoir décisionnel Passé de la grisaille, l'inhérente traitrise.