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Affichage des articles du juillet, 2011

À l'Hôte Vibrante

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Ô féline lointaine, il reste, je veux croire, Telle une fumée libre, un jeu incandescent - L'écho de l'harmonie de nos cœurs adjacents, Quand s'en sera finit, la liberté de voir ? Une topologie nouvelle n'entrevoit Des chroniques tracas, ensemble, qu'un sourire. Un trajet, bien que long - quand bien même ton pire, S'illumine d'un rai selon qui t'y envoie Et fait choir en nos destins, une mécanique, Des coups d'obscurité, un froid océanique Qui n'existe vraiment - il n'est que temporaire. Car aucuns des orages en Juillet ne recouvre Assez les rares lignes, qu'assidu je découvre, Résonner d'autrui est un bel itinéraire.

Haï c...

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Beauté de juillet : Deux jambes à vélo, pédalent Au son d'une jupe. .

In Vino

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L'histoire est un peu triste, ami, écoute là Ce que prêchèrent à tort deux solitaires gens Liberté, ouverture, et surtout par-delà L'écran bien protecteur d'un rayon indigent. Alan-Guy d'un combat en qui manif-Esther(ent) Des démons invaincus mais oubliés d'un rêve Cimenté de virtuel, que ni l'accusataire (Qu'ils voulaient un enfant), ni, la première trêve Ne parvint à bâtir. Oui mais ! Construirent-ils Le Chao ex Ordo de notre trialogue ? J'ai choisi mes parents dans un bleu de méthyle La liberté d'azur est d'un ton analogue. Quelques pépins semés, d'identité multiple, Dévorant, plus que moi, que mon verger occulte, Leur âme ! Oh Veritas, ce fût dans un vin triple Que tu te distillas, oyez votre tumulte !

La Grande Dame

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Mieux que ces mots étroits, l'abbaye de mes songes Surplombe la vallée, contrarie le mensonge D'une Loire tarie, d'une terre à mystères. C'est d'un sol empourpré et de cœurs en colère Que je viens. Honorez-vous toujours un présent ? D’Aragon, Ô si bien ! Le poète épuisant De réel associe son art à ma patrie. Sous la voûte, une larme éclot en droiterie À attiser mon mal - Le Mystère intérieur N'est accessible enfin qu'à ce concave cœur Qu'on ne trouve en cherchant. Une fidélité Nous unit de distance et de frivolité Quand, sitôt effacés, les mirages pervers Révèlent ce contrat, suffisant, et ouvert.

Croassant les princes qui croissent

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C'est à bien antho-ner de telles circonstances À partager, rieurs, les affres du passé Que nous puisons, séant, des espoirs incensés Et la force, et l'envie, de reprendre une danse. Cependant, qu'écrasés furent nos pieds habiles Par le poids d'une histoire, bien que lourds et pesants Se prolongea le rythme, et fort étonnamment La Bachata oblige à nos membres un mobile ! Puis l'impuissante tête observe sans y croire Maints éclats sculpturaux par ces pieds sitôt noirs D'avancer malgré nous vers une autre demeure. Oui mais ! Nous ne savons pas ce que nos pieds savent Eux avancent et parfois, doutons-nous que se lavent Du chemin les déchets, la minute d'une heure.